Katerina Kaloudi

Cyclades, Sérifos, 2002, issu de la série «les grecs' - Photo Katerina Kaloudi

Cyclades, Sérifos, 2002, issu de la série «les grecs’ – Photo Katerina Kaloudi

C’est la poésie qui ressort de cette exposition photographique de Katerina Kaloudi : « Les grecs », présentée au Festival Photomed. Il n’est que de lire ce qu’elle dit de la photo pour comprendre son total engagement :

« Pour moi l’aspect le plus fascinant de la photographie est ce moment impulsif qui me pousse à  capturer une image. Il n’y a pas de logique; c’est comme une révélation. Tout dépend de qui vous êtes et de ce que vous vivez à  ce moment précis. Toute la magie de « l’acte photographique » est cachée dans un millième de seconde, où l’œil, le cœur et l’esprit, comme le disait Henri Cartier-Bresson, se rejoignent sur une même ligne droite. Finalement dans mes photographies, au-delà  de la partie visible qui leur donne forme, il y a une partie invisible qui rôde sous la surface. C’est cette présence de l’invisible qui crée le lien entre l’image et moi-même et peut-être entre l’image et vous « .

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